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Violence conjugale

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


La violence entre partenaires ou ex-partenaires, est un fait qui se retrouve dans tous les milieux sociaux, « pauvre, riche, millionnaire, » et a toujours pour but le contrôle de la femme ou de l'homme.

Ces violences peuvent être :

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Sexuelles : «viol, sévices… »

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Economiques : «justification des dépenses, interdiction de travailler… »

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physiques :  « affronts, coups, gifles, strangulation, étranglement … »

 

Psychologiques :  «instaurer un climat de terreur, détruire la confiance en soi… »

Verbales : «cris, insultes, propos dégradants… »

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Ces comportements néfastes sont caractérisés par leur répétition et visent la prise de contrôle du partenaire.

 

Ils ont,  pour conséquence,  l’anéantissement psychologique de la victime. L’image de soi et la confiance en soi, sont souvent gravement affectées, et la personne, qui subit cette violence, se sent coupable, honteuse et humiliée. En effet, la violence conjugale se caractérise par un rapport de supériorité c'est-à-dire une volonté de l'un des partenaires d'exercer un droit sur l'autre.

 

Ce type de relation porte immanquablement atteinte à l'intégrité et à l'identité de la victime : «perte de l'estime de soi, isolement, dépression, impact sur la santé physique et mentale, et jusqu’à l’anéantissement total de la ou du  partenaire. »

 

Au début, les femmes/les hommes n'arrivent pas à mettre le mot « violence » sur ce qui leur arrive. Il est douloureux d'admettre que l'homme ou la femme qu’on aime, vous agresse, vous injure ou vous insulte... Ils/elles ont tendance à réduire la violence, à excuser leur partenaire. Ils/elles se disent que ce n'est pas si grave, qu’ils/qu'elles prennent les choses trop à cœur, que c'est juste un passage.

 

Chez certains couples, la violence commence avec les coups, chez d'autres, elle demeure psychologique. Cependant, dans la majorité des cas, les différentes formes de violence se conjuguent au fil du temps en une progression de plus en plus dangereuse.

 

Dans tous les cas, sans aucune exception, la violence conjugale est inacceptable ! Rien ne peut la condamner. Pourtant, elle est une réalité dans tous les pays du monde et elle concerne toutes les catégories sociales ou culturelles.

 

La violence conjugale ou violence domestique s'inscrit dans un processus au cours duquel, pour instaurer et maintenir une supériorité, le partenaire a recours à la force, à la menace, à la contrainte ou à tout autre moyen de pression ou de maltraitance. L'autre est traité comme une chose et non comme un sujet de droit.
La violence conjugale peut se décliner sous différentes formes, commençant toujours par la violence verbale et psychologique.

La violence psychologique vise à ébranler la victime, à réduire et à détruire ses repères afin qu’il/qu'elle doute du bien fondé de sa propre position ou perception des choses, qu’il/qu'elle se soumette aux vues de son bourreau ou qu’il/qu'elle ne se révolte pas.

 

Dans cette catégorie figurent :

- LE VIOL
- le mutisme ou le refus de parole pendant plusieurs heures et parfois plusieurs jours,
- les insultes, injures, affronts…
- les hurlements ou le fait de crier à l'autre en collant son visage contre le sien,
- les vexations, humiliations, dégradations …
- les critiques incessantes, les jugements, les remontrances …
- les sarcasmes, les moqueries …
- les remarques désobligeantes, malveillantes, agressives, méchantes …
- le chantage affectif ou financier est utilisé comme un moyen de contrôle.
- les ordres contradictoires,   
- le harcèlement,
- tous les comportements de mépris, d'avilissement ou d'asservissement de l'autre, ainsi que les propos dévalorisants, les dénigrements, la dévaluation des actions ou pensées de l'autre, les jugements négatifs à l'encontre de la personne … 


Il s'agit de toutes les attaques qui touchent l'intégrité psychique du/de la partenaire et qui sont en fait des actes de tortures psychiques.  Les auteurs de violence tentent souvent de se justifier, ils expliquent leurs faits par un problème extérieur (stress, alcool, chômage, histoire personnelle, etc.) ou rendent leur compagne responsable. Si votre partenaire ne supporte pas certains de vos comportements, il n’a pas pour autant le droit de vous détériorer. Quels que soient les dires invoqués, le recours à la violence est inexcusable. Votre partenaire est seul responsable de ses actes.

 

Le moment de crise passé, votre partenaire s'excuse, promet de ne plus recommencer. Il a peur de vous perdre et fait tout pour se faire pardonner. Vous reprenez espoir, vous voulez croire à ses paroles du changement et oublier votre souffrance, vous acceptez les excuses accompagnées de délicatesse. C'est comme une nouvelle lune de miel qui vous encourage à poursuivre la relation, MAIS … le rouleau compresseur de la violence recommence, avec des phases de plus en plus rapprochées et des agressions de plus en plus graves. Si rien n’est entamé : plainte à la police, contact avec un service d’aide aux victimes ou prise de contact avec son médecin traitant,  la violence peut parvenir à des épreuves dangereuses pour la vie ou des dommages irréversibles (vitriol),  le risque de meurtre n'est pas négligeable.

 

La violence plonge les victimes dans l’appréhension, la culpabilité, la honte et l'isolement, ces séquelles sont normales, c'est la situation vécue qui ne l'est pas. Des émotions importantes en découlent: stress, anxiété, dépression, insomnies, maux de tête, fatigue chronique ... La violence terrasse le bien-être et dégrade la santé, tous les aspects de la vie sont affectés: famille, travail et vie sociale.

 

L'enfant confronté à des scènes de violences conjugales est considéré comme une victime. Voir des scènes violentes, entendre des cris, voir les traces laissées par des coups, vivre dans un climat de tension, de peur et d’insécurité peut choquer durablement le développement d'un enfant (troubles du sommeil, anxiété, baisse des performances scolaires, agressivité et à terme une vision déformée du couple, de la famille et de ses relations en général). 

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Il est essentiel de redire oui à la vie.

Je vous remercie d’avoir pris quelques minutes pour lire cet article.

 

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